Murten, den 10.12.1456
CONCORDAT ENTRE LE CANTON DE MURTEN ET L'EGLISE ARISTOTELICIENNE.
Préambule
Par la présente, le Canton de Murten officialise ses rapports avec l'Eglise et la reconnaît comme base de ses valeurs et de sa culture. Par la présente l'Eglise reconnaît le Canton de Murten comme Aristotélicien. Ce concordat ne peut être modifié ou annulé que suite à l'acceptation des deux parties, quelques soient les changements au sein du conseil du Canton de Murten ou de la Papauté. Cependant le présent concordat pourra être amendé, avec l’accord des deux parties.
I - Du rôle de l'Eglise dans l'organisation spirituelle du Canton
Article I.1 : Le présent Concordat fait de l’Eglise Aristotélicienne Universelle et Romaine, la religion officielle du Canton de Murten. Le Canton reconnaît l’Eglise Aristotélicienne Universelle et Romaine comme seule, unique et légitime Institution du Tout Puissant, ainsi que seule détentrice de la Vraie Foi.
Le Canton de Murten reconnaît l'existence du Saint-Siège et de toutes ses institutions.
Article I.2 : Seul le culte Aristotélicien pourra être exercé en public dans la halle, la taverne cantonale (municipale) et autres bâtiments et institutions du Canton, ainsi que faire acte de prosélytisme en ces mêmes lieux.
Toutefois, il est toléré que les averroïstes et les spinozistes ouvrent chacun un et un seul lieu de culte qui leur sera propre dans la halle, ceci avec l’accord des autorités temporelles et ecclésiastiques. Cette tolérance ne leur permette pas de faire acte de prosélytisme dehors de leur lieu de culte.
Article I.3 : Le Canton de Murten reconnaît la pleine autorité de l'Eglise Aristotélicienne et Romaine dans le domaine spirituel et sur l’Archevêché Métropolitain de Besançon et l’Evêché suffrageant de Lausanne couvrant le Canton.
Article I.4 : Toute violation des dispositions du présent concordat sera considérée comme un acte d'hérésie.
II - Du rôle de l’Eglise dans l’organisation temporelle du Canton
Article II.1 : Le curé de Murten siège au Conseil cantonal (municipal), afin de l'aider à conformer sa politique aux principes aristotéliciens, il aura droit de vote. En cas d'absence de curé, le diacre prendra cette place. Si ce dernier est également absent, l'Evêque de Lausanne siègera au conseil cantonal, cependant le droit de vote ne lui sera accordé qu'après une autorisation de l'Avoyer/maire en place.
Article II.2 : L’Evêque et le Curé membres du conseil municipal s’engagent à ne pas révéler d’informations pouvant compromettre la sûreté civile. Tout écart à cette règle pourra être porté, en accord avec la Sainte Curie, devant un tribunal local pour haute trahison. Cependant si les informations détenues par l’ecclésiastique sont de nature à mettre en danger le Saint-Siège, l’ecclésiastique est autorisé à communiquer, par la voix du secret de l'Eglise, les informations qui pourraient mettre en danger la Papauté.
Article II.3 : Un membre du clergé aristotélicien qui se voit confiée une mission d'ordre temporel ne pourra s'en acquitter que si cette tâche ne heurte point les principes de la Vraie Foi, dont l'Eglise aristotélicienne est unique dépositaire.
Article II.4 Le Maire de Murten doit être baptisé. S'il ne l'est pas au moment de son élection, il devra l'être sous deux semaines. Ses conseillers, quelque soit leur religion en privé, représentent en public le Canton, il doivent se comporter en aristotéliciens et il leur est fermement recommandé de se faire baptiser si tel n’était pas le cas.
Afin de ne point se retrouver en porte-à-faux avec le présent concordat, le conseil en place, en coopération avec le Nonce pour l’Helvétie, l’Evêque et le Curé moratois, vérifieront que tous ceux qui se présentent aux élections sur une liste, soient baptisés ou envisagent le baptême rapidement. Au même titre qu’il faille être moratois pour se présenter aux élections, il faut être fidèles de la Sainte Eglise pour prétendre à présider aux destinées du Canton.
Article II.5 : Les membres du clergé aristotéliciens sont admissibles à toutes charges temporelles.
Article II.6 : Le Maire de Murten nomme au début de son mandat son confesseur choisi parmi le clergé de Murten.
Article II.7 : De la Justice.
L'Inquisition a pour rôle d'enquêter et de poursuivre les hérétiques, les blasphémateurs, les sorciers et les gourous sectaires, délinquants au regard de la justice moratoise, suite au présent concordat. L'Inquisition pourra faire appel aux autorités judiciaires locales en cas de besoin. Elles devront alors sanctionner toute violation manifeste du présent concordat.
De la Procédure :
L’Inquisition est représentée dans le Canton par l’Officialité de Besançon. L’Archevêque de Besançon pourra soit juger les fautes décrites ci après au sein de l’officialité épiscopale, dont le verdict sera mit en application par le tribunal local, soit les faire juger par le tribunal de Murten. Cependant, le verdict sera rendu par une commission réunissant deux clercs de l’Archidiocèse désignés selon le droit canonique et le juge Murten.
Rappel des fautes selon le Droit Canon :
- L’hérésie consiste en le rejet de tout ou partie du dogme aristotélicien.
- L’apostasie consiste en un ou plusieurs actes de reniement, chez le baptisé, de sa Foy aristotélicienne.
- Toute prêche d’idées religieuses autres que celles prônées par l’Archevêque ou de son responsable du dogme, est prohibée. Tout prêche doit donc recevoir l’autorisation de l’Archevêque ou de son responsable du dogme avant de se déployer.
- Du parjure : Est considéré comme parjure, toute personne ayant trahi un sacrement de l’Eglise Aristotélicienne et ayant menti alors qu’elle avait juré dire la vérité sur les Saintes Ecritures ou sur les reliques des saints.
III - Du rôle de l’Eglise dans la vie civile
Article III.1 : Les mariages aristotéliciens sont les seuls mariages reconnus comme valides.
Article III.2 : Conformément au décret Matrimonium Phohibiti, le « mariage civil », ou toute autre forme d’union de ce genre ayant vocation à lier l’homme à la femme et la femme à l’homme est strictement interdit pour les fidèles de la Sainte Eglise sur les terres du Canton de Murten.
Article III.3 : L’Eglise se donne pour mission d’aider les plus démunis. Dans ce cadre, ses représentants devront de manière active participer aux actions de charité et, autant que possible, coordonner leurs efforts avec les autorités cantonales.
Article III.4 : L’Eglise se donne pour mission de participer le plus activement possible à l’éducation du peuple selon les principes de la Vraie Foi. Le diocèse de Lausanne se doit d’accueillir tous les demandeurs dans ses locaux et au presbytère de Murten.
Article III.5 : Un clerc n’a de compte à rendre, sur ses actes spirituels, qu’à son évêque.
Article III.6 : L’Evêque de Lausanne et le Curé se doivent de faire acte de présence aux manifestations organisées par le Maire et son conseil pour lesquelles ils ont reçu invitation. L'absence est tolérée, sous réserve que le conseil ou le Maire en ait été informé.
Article III.7 : Le Maire et ses conseillers se doivent d'assister aux offices religieux. Leurs absences éventuelles doivent être justifiées afin de ne pas encourager une désaffection publique pour les offices.
Article III.8 : Le Canton de Murten pourra aider, dans la mesure de ses moyens, les diacres à devenir prêtres par la mise en place de don d’écus nécessaires et sur présentation d’un dossier par l’Evêque. Ce don ne sera possible que si le futur prêtre reste à Murten après son ordination pour officier, et ce pour un délai minimum de 6 mois.
Pour le Canton de Murten
Promulgué le 3 juin 1456,
Par l'Avoyère Elwiyn et le peuple Moratois,
Pour l'Eglise Aristotélicienne:
Son Excellence Monseigneur Scarpia de Ventoux,
Nonce Apostolique honoraire,
Archevêque Métropolitain de Moustier-en-Tarentaise
KONKORDAT zwischen dem Kanton und der Kirche MURTEN Aristoteles.
Präambel
Mit der vorliegenden, den Kanton Murten offiziell seine Berichte mit der Kirche anerkennt und die als Grundlage für seine Werte und seine Kultur. Von dieser Kirche erkennt den Kanton Murten wie Aristoteles. Dieser Vergleich kann nicht storniert oder geändert werden, dass im Anschluss an die Annahme der beiden Parteien, unabhängig von den Veränderungen im Vorstand des Kantons Murten oder des Papsttums. Jedoch dem Konkordat Sie kann mit Zustimmung beider Parteien.
I - Über die Rolle der Kirche bei der Gestaltung des geistigen Kanton
Artikel I.1: Der vorliegende Konkordat von der Kirche und römisch-aristotelischen Weltausstellung, die offizielle Religion des Kantons Murten. Der Kanton anerkennt die Kirche und römisch-aristotelischen Weltausstellung als einzige, legitime und einzige Institution des Allmächtigen, so dass nur die über die wahren Glauben.
Der Kanton Murten erkennt die Existenz des Heiligen Stuhls und all ihren Institutionen.
Artikel I.2: Nur der aristotelischen Kult ausgeübt werden in der Öffentlichkeit in der Halle, die kantonalen Taverne (Stadtverwaltung) und anderen Gebäuden und Einrichtungen des Kantons sowie Handlung zu zu bekehren in diesen Orten.
Allerdings ist es zulässig, dass die Averroes und die Spinozist öffnen jeweils nur ein Ort der Anbetung, die ihnen selbst wird in der Halle, und zwar mit Zustimmung der zeitliche und Geistliche. Diese Toleranz kann nicht von ihnen ermöglicht, ihre Missionierung außerhalb ihrer Kultstätte.
Artikel I.3: Der Kanton Murten erkennt die volle Autorität der Kirche und römisch-aristotelischen im Bereich der geistigen und auf der Erzbischöfe von Besançon und der Hauptstadt des Bistums Lausanne, die Stimmen der Kanton.
Artikel I.4: Die Verletzung der Bestimmungen dieses Konkordats wird als ein Akt der Ketzerei.
II - Über die Rolle der Kirche bei der Gestaltung des zeitlichen Kanton
Artikel II.1: Der Pfarrer von Murten Sitz im kantonalen (Stadtrat), um sie in Einklang mit den Grundsätzen seiner Politik Aristoteles, hat er das Recht zur Abstimmung. Im Falle der Abwesenheit von Pfarrer, der Diakon wird dieser Platz. Wenn dieses nicht vorhanden ist, der Bischof von Lausanne tagt der Kantonsregierung, jedoch das Stimmrecht nicht er wird nur dann erteilt, wenn eine Bewilligung des Avoyer / Bürgermeister werden.
Artikel II.2: Der Bischof und der Pfarrer Mitglieder des Gemeinderats verpflichten sich, keine Informationen zu offenbaren, die die zivile Sicherheit. Jede Abweichung von dieser Regel kann sich im Einvernehmen mit der Sainte-Curie, vor den örtlichen Gerichten Hochverrat. Jedoch, wenn die Informationen, die kirchliche geeignet sind, gefährden den Heiligen Stuhl, der Geistliche ist befugt, von der Stimme des Geheimnisses der Kirche, die Informationen, die Gefährdung der Papsttum.
Artikel II.3: Ein Mitglied des Klerus aristotelischen, die sich einer Aufgabe anvertraut Ordnung nicht zu entrichten, wenn diese Aufgabe nicht Punkt stößt die Grundsätze der wahren Glauben, die Kirche ist einzigartig aristotelischen hinterlegt.
Artikel II.4 Der Bürgermeister von Murten muss getauft. Ist dies nicht der Fall zum Zeitpunkt seiner Wahl, es muss sein, die in zwei Wochen. Seine Berater, unabhängig von ihrer Religion in privaten, in der Öffentlichkeit vertreten den Kanton, es verhält sich in der aristotelischen und es wird ihnen empfohlen, sich fest taufen zu lassen, wenn dies nicht der Fall.
Um sich nicht in Punkt-zu-Tür nicht mit dem Konkordat, das in Zusammenarbeit mit dem Nuntius für die Schweiz kommen, der Bischof und der Pfarrer moratois, sicherzustellen, dass alle diejenigen, die sich an den Wahlen auf eine Liste, genannt werden wollen oder die Taufe schnell. Ebenso, dass man sein moratois, um sich an den Wahlen, müssen die Gläubigen der heiligen Kirche, um Anspruch auf den Vorsitz des für den Kanton.
Artikel II.5: Die Mitglieder des Klerus aristotelischen zulässig sind alle zeitlichen Aufwand.
Artikel II.6: Der Bürgermeister von Murten wählt zu Beginn seiner Amtszeit sein Beichtvater aus dem Klerus von Murten.
Artikel II.7: Von der Justiz.
Die Inquisition hat die Aufgabe, zu untersuchen und um die Ketzer, die Gotteslästerer, die Zauberer und die Sekten-Gurus, Straftäter im Hinblick auf die Justiz moratoise, nach dem Konkordat. Die Inquisition auch hier die örtlichen Justizbehörden im Bedarfsfall. In diesem Fall müssen sie gegen jede Verstoß gegen dieses Konkordats.
Der Verfahren:
Die Inquisition ist im Kanton durch die Officialité von Besançon. Der Erzbischof von Besançon zu beurteilen oder die im Folgenden beschriebenen Fehler in der bischöflichen officialité, deren Urteil wird mit der Anwendung durch den örtlichen Gerichten, die zu beurteilen oder durch das Gericht von Murten. Doch das Urteil wird von einem Ausschuss tagen zwei Geistlichen der Erzdiözese benannt nach dem Kirchenrecht und der Richter Murten.
Wiederholung der Fehler nach dem Recht Canon:
- Die Ketzerei ist die Ablehnung des gesamten oder eines Teils des aristotelischen Dogma.
- Die Apostasie besteht aus einer oder mehreren Handlungen Ablehnung, bei den Namen, der aristotelischen Foy.
- Jede Predigt von religiösen Ideen, die nicht gefördert durch Erzbischof oder der Verantwortliche des Dogmas, ist verboten. Jeder predigt muss daher an die Genehmigung des Erzbischofs oder der Verantwortliche des Dogmas, bevor sie sich entfalten.
- Vom Meineid: Als Meineid, jede Person, die verraten, ein Sakrament der Kirche hat Aristoteles und gelogen, als sie geschworen hatte, die Wahrheit zu sagen über die Heilige Schrift oder über die Reliquien der Heiligen.
III - Von der Rolle der Kirche in das zivile Leben
Artikel III.1: Hochzeiten aristotelischen sind die einzigen Verbindungen als gültig anerkannt.
Artikel III.2: Gemäß dem Erlass matrimonium Phohibiti, die "Ehe", oder jede andere Form der Verbindung dieser Art mit Berufung auf die Verknüpfung der Mann der Frau und die Frau auf den Menschen ist streng verboten, um die Gläubigen Kirche der Heiligen auf den Flächen des Kantons Murten.
Artikel III.3: Die Kirche hat sich zur Aufgabe, den Ärmsten zu helfen. In diesem Rahmen ihre Vertreter müssen sich aktiv an den Aktionen der Nächstenliebe und, soweit möglich, ihre Bemühungen mit den kantonalen Behörden.
Artikel III.4: Die Kirche hat sich die Aufgabe, sich möglichst aktiv an der Bildung des Volkes nach den Grundsätzen der wahren Glauben. Die Diözese von Lausanne muss Platz für alle Antragsteller in seinen Räumlichkeiten und dem Pfarrhaus von Murten.
Artikel III.5: Ein Kleriker hat Rechenschaft ablegen, über seine Taten geistigen, dass ihr Bischof.
Artikel III.6: Der Bischof von Lausanne und dem Pfarrer müssen, ihre Präsenz in den Veranstaltungen durch den Bürgermeister und sein Rat für die Einladung erhalten haben. Das Fehlen wird toleriert, sofern der Rat oder der Bürgermeister darüber informiert wurde.
Artikel III.7: Der Bürgermeister und seine Berater müssen sich von dem Gottesdienst beiwohnte. Ihre etwaige Fehlzeiten begründet sein müssen, um nicht zu einer Entfremdung der Öffentlichkeit für die Ämter.
Artikel III.8: Der Kanton Murten kann helfen, im Rahmen ihrer Möglichkeiten, die Diakone zu Priestern durch die Einführung der notwendigen Spende ECU und auf Vorlage von Unterlagen durch den Bischof. Dieses Geschenk ist nur möglich, wenn die künftigen Priester in Murten bleibt nach seiner Weihe zum Offizier, und was für einer Frist von mindestens 6 Monaten.
Für den Kanton Murten
Verkündet am 3. Juni 1456,
Durch die Avoyère Elwiyn und das Volk Moratois,
Aristoteles für die Kirche:
Seine Exzellenz Bischof von Scarpia Ventoux,
Honorarkonsul der Apostolische Nuntius,
Erzbischof Metropolit Moustier-in-Tarentai
khatanka